Vendredi dernier, je me suis risqué pour la première fois à la voltige aérienne. Une expérience que je rêvais de faire depuis une paire d’années, mais que je redoutais tout de même un peu. L’expérience a commencé au petit aérodrome de La Roche sur Yon, avec un pilote : Nicolas. Il a commencé par me montrer l’appareil, puis m’a fait enfiler le parachute, un peu comme un sac à dos. Puis nous sommes partis pour une demi-heure de pures sensations à 250 km/h. J’ai serré les dents entre loopings, vols dos et autres plongeons, dont certains m’ont fait dire pas mal de grossièretés. Cinq minutes avant la fin, j’ai commencé à avoir mal au coeur, et Nicolas a décidé de ralentir le rythme. Mais c’était déjà trop tard et j’ai dû faire usage du petit sac à vomi. Je ne peux m’en prendre qu’à moi-même : je n’aurais pas dû répéter que j’étais en pleine forme lorsque je commençais à devenir blanc comme un linge… Nicolas se calque sur les réactions du client pour qu’il atterrisse en forme. Comme il le dit lui-même : l’objectif n’est pas de perturber les gens lors du vol, mais de les amener au plaisir. Ceci dit, le fait de vomir ne m’a gâché en rien l’expérience (à part la vidéo, peut-être). Au cours du vol, nous avons oscillé entre -3,6G et 5,9G. Cela signifie que par moments, je pesais 5,9 fois mon poids habituel ! Je vous laisse imaginer les impressions que cela procure. Mais le plus dur, c’est au final les phases de micro-gravité : ce sont elles qui rendent vraiment malade. Dans les phases d’accélération, le déjeuner reste là où il est. En micro-gravité, il a tendance à vouloir partir en promenade. A la toute fin, Nicolas m’a même prêté le manche à balai pour quelques minutes. J’ai ainsi pu effectuer un petit tonneau avant qu’on ne doive regagner l’aérodrome ! Je peux vous dire que le feu d’artifice de sensations fortes n’a commencé à s’émousser que quelques heures après avoir regagné la terre ferme ! Si vous n’avez jamais essayé, je vous recommande chaudement l’aventure. Les sensations sont extrêmes. Ce qui est sûr, c’est que si on me le reproposait, je n’aurais rien contre ! Mais en ayant l’estomac à vide, cette fois. Je vous mets en lien le site web où j’ai trouvé cette expérience de voltige aérienne à La Roche sur Yon. Avis aux amateurs de sensations fortes… A lire sur le site de cette expérience de voltige aérienne.
Category Archives: Non classé - Page 17
J’ai testé la voltige aérienne
Un très léger repli des surfaces de céréales
Les surfaces de blé tendre d’hiver sont estimées à 5 millions d’hectares, un niveau stable sur un an et en retrait de 1,5 % par rapport à la moyenne 2013-2017. Cette année, les variations régionales sont un peu plus marquées. C’est la Lorraine qui perd le plus d’hectares (- 9 %), tandis que la Picardie gagne 1 à 2 %. Cette année encore, les chiffres de vente de semences certifiées ne sont pas bons. Pour la campagne 2017-18, même si les bilans ne sont pas définitifs, le Gnis prévoit une nouvelle baisse du taux d’utilisation des semences certifiées, un taux qui ne dépasserait pas 45 %, contre 47 ou 48 % l’an dernier. Certes, la diminution est somme toute modérée. Après la moisson record de 2017, les décisions d’investissement auraient pu être encouragées. A contrario, la qualité sanitaire des grains était bonne, le taux d’humidité moyen, ce qui a inévitablement incité les agriculteurs à puiser dans leur récolte. Surtout que les prix de vente n’ont jamais décollé et certains céréaliers traversent une période difficile. On remarque, au niveau régional, des différences sur le taux d’utilisation des semences certifiées. Là où les distributeurs ont mis en œuvre des plans d’action, là où les conseillers prennent la peine de développer les bonnes recommandations, les semences de ferme ne réussissent pas à s’imposer. L’innovation variétale est un des meilleurs arguments. Pour profiter des plus récents progrès de la sélection, l’investissement dans les semences certifiées est incontournable.
La chute du plombier
Alors certes, je ne joue plus trop, aujourd’hui. Je manque toujours de temps pour pouvoir rallumer ma console de jeu. Mais par le passé, j’ai passé énormément de temps à jouer aux jeux vidéo. En fait, j’ai même possédé presque toutes les consoles du marché, à une époque. Et aujourd’hui encore, si je ne joue plus, je reste toujours informé sur le sujet. Et j’avoue que je suis un peu effaré par celle que s’apprête à lancer Nintendo en mars prochain. Il y a quelques jours, ma femme et moi avons découvert Londres dans le cadre d’un voyage de groupe, et durant le séjour, j’ai fait la connaissance d’un geek avec qui nous en avons pas mal discuté. C’était un fan de Big N et il m’a donc fait l’éloge de la console en long et en large. Il était absolument certain du potentiel et du succès de la plateforme. Mais je reste quant à moi beaucoup plus circonspect sur le succès de la chose. Sur ce coup, je dirais plutôt que Nintendo a commis une erreur. Et une grande ! Oublions même les considérations techniques et le prix, qui est à mon sens bien trop élevé. Le line-up de la console est à lui seul vraiment consternant. Moi qui achète une console essentiellement pour les jeux qu’elle propose, imaginez l’effet que ça me fait de voir cette console proposant seulement 8 jeux pour son lancement. Et encore, un seul d’entre eux est une réelle nouveauté ! Bien sûr, le concept de base de cette console est plutôt aguichant : l’idée de combiner console de salon et console portable est plutôt bien trouvée. Encore faut-il assurer derrière. Et de ce côté-là, on peut dire que Nintendo nous a habitués à bien mieux ! Bref, il n’est pas sûr du tout que cette fameuse Switch qui fait couler tant d’encre soit un succès, ni même que le plombier survive aux prochaines années s’il continue dans cette direction.
Sinon, ce voyage m’a conquis. Il y régnait une excellente ambiance, en partie grâce à l’organisation qui était aux petits soins pour chacun d’entre nous Voilà le site par lequel nous sommes passés, si vous voulez vous faire votre propre idée. A lire sur le site de Voyage à Londres.
Les droits de l’homme en 2017
Tout au long de l’année 2017, des millions d’hommes et de femmes à travers la planète ont pu goûter les fruits amers de politiques de diabolisation de plus en plus virulentes. Les conséquences extrêmes de ce type de politique ont éclaté au grand jour lors de la terrible campagne militaire de nettoyage ethnique menée contre les Rohingyas du Myanmar, qui a entraîné l’exode de quelque 655 000 personnes vers le Bangladesh voisin en l’espace de quelques semaines et s’est ainsi traduite par la crise des réfugiés la plus fulgurante de 2017. À la fin de l’année, les perspectives d’avenir des Rohingyas demeuraient très incertaines et l’incapacité durable des dirigeants de la planète à offrir de réelles solutions aux réfugiés n’incitait guère à l’optimisme. Cet épisode restera dans l’histoire comme un exemple supplémentaire de la calamiteuse impuissance de la communauté internationale à résoudre les situations propices aux pires atrocités de masse. Au Myanmar, les signes avant-coureurs étaient visibles depuis longtemps. Sous un régime qui s’apparentait à l’apartheid, la discrimination et la ségrégation à grande échelle étaient devenues la norme. Depuis des années, on assistait à une banalisation de la stigmatisation des Rohingyas, qui s’étaient vu privés des conditions les plus élémentaires permettant de vivre dans la dignité. Le passage de la discrimination et de la diabolisation aux violences de masse est un phénomène tristement familier, dont les conséquences désastreuses ne peuvent être aisément réparées. Les Rohingyas ont été victimes en 2017 d’atteintes à leurs droits particulièrement criantes, mais la tendance des dirigeants et des responsables politiques à stigmatiser des catégories entières de population en raison de leur identité a fait sentir ses effets dans le monde entier. L’année qui vient de s’écouler a de nouveau montré quelles pouvaient être les conséquences de politiques de diabolisation désormais banalisées, avec toutes leurs terribles implications pour les droits humains. Alors que nous entamons 2018, l’année du 70e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme, il est on ne peut plus clair que personne parmi nous ne peut considérer un seul de ses droits fondamentaux comme acquis. Ainsi, nous ne pouvons certainement pas tenir pour acquise notre liberté de nous rassembler pour protester ou celle de critiquer nos dirigeants, pas plus que la jouissance d’une sécurité sociale pour nos vieux jours ou en cas de handicap, la garantie de voir nos enfants grandir dans des villes dont l’air est propre et respirable, ou la possibilité, une fois nos études terminées, de trouver un emploi nous permettant d’obtenir un logement.
S’éloigner pour mieux revenir
Si vous êtes du genre Kramer, à vouloir à tout prix obtenir la garde de vos enfants, ce que je vais vous dire ici vous choquera peut-être : parfois, s’éloigner de ses enfants, ça fait du bien. Il y a quelques jours encore, un incentive m’a permis de leur échapper pour découvrir Istanbul. A vrai dire, si mon entreprise n’avait pas mis en place ce voyage, j’aurais sans doute pété un plomb, vu la période que nous avions traversé et l’énergie que nous avions mis à faire du chiffre. En général, j’ai tendance à penser que le travail est une bonne chose. Mais je considère également que, des fois, il faut savoir souffler un peu. Et la meilleure façon d’y parvenir, dans ces moments-là, reste encore l’incentive. C’est amusant, quand j’y pense, de voir comme ma position sur l’incentive a changé, avec les années. Les premières fois où j’ai dû en faire, j’y suis allé en ronchonnant, considérant qu’il s’agissait de simples déplacements professionnels. Mais cela ne veut pas dire pour autant qu’il n’est pas possible d’en profiter à fond, au même titre que des vacances personnelles. En fait, plus que des vacances en famille, d’une certaine manière. Ces voyages se font avec les collègues, mais c’est là un atout supplémentaire, en définitive. Il y a effectivement une pléthore d’activités qu’on ne peut plus réaliser, à partir du moment où on a des gosses. Du coup, les incentives se sont révélés être la meilleure façon de pratiquer tout ce qu’on s’interdit en vacances avec sa famille. Cela permet aussi de faire retomber la pression qu’il y a à vivre en famille. Je tiens à préciser que j’adore ma vie de famille, et que je ne l’échangerais pour rien au monde. Mais à certains moments, je crois qu’il est primordial de se retrouver, de prendre du temps pour soi. Cela permet d’avoir du plaisir quand on rentre de voyage. Même quand on mène une vie rêve, on finit toujours par perdre cette réalité de vue, par ne plus en profiter. Et dans ces moments-là, faire un break devient urgent. Tout ça pour dire qu’au final cet incentive m’a fait l’effet d’une grande bouffée d’air frais, et j’ai autant apprécié pour la destination que pour l’organisation générale. Je vous mets un lien vers le site de l’agence qui l’a organisé. Dites-le à votre patron : les incentives sont un excellent remède pour une vie de famille heureuse ! Plus d’information est disponible sur le site de l’agence cette incentive à Istanbul. Cliquez sur le lien.
Pour une nouvelle réforme territoriale
Ce lundi, les sept présidents des départements d’Ile-de-France ont adressé une demande commune pour être reçus concernant la réforme de la Métropole du Grand Paris. C’est la dernière ligne droite avant que l’Elysée ne tranche. Les sept présidents des départements d’Ile-de-France le savent. Alors cette semaine, ils accélèrent leur mobilisation, contre le projet de réforme de la Métropole du Grand Paris, qui viserait à supprimer les trois départements de petite couronne. Avant leur conférence de presse commune ce jeudi, en présence du président de l’Association des départements de France Dominique Bussereau, ils ont, selon nos informations, adressé ce lundi un courrier commun pour demander à être reçus par Emmanuel Macron. « Les élus que nous sommes seront vos meilleurs alliés pour porter une réforme fructueuse », avancent-ils, dans ce courrier que nous nous sommes procuré. Non sans dénoncer au préalable, « l’absence totale de dialogue » sur le sujet entre le plus haut niveau de l’Etat et les élus locaux. Lesquels demandent depuis des mois à être entendus. Sans succès. Leur inquiétude est montée d’un cran, voilà quelques jours, avec les fuites parues dans la presse sur le rapport du préfet de région. Son scénario : une métropole qui se limite à la petite couronne, avec des pouvoirs renforcés pour les onze territoires qui la composent, et avec l’émergence de districts. Le tout, en supprimant les trois départements de petite couronne. Un projet « inacceptable et méprisant pour les citoyens », ont-ils dénoncé peu après. « En totale contradiction avec ce que nous, acteurs de terrain, observons et attendons d’une réforme nécessaire pour nos communes, nos départements et nos régions », ajoutent-ils ce lundi. Pire, ce scénario, s’il était validé, passerait « à côté des enjeux », avec des territoires « peu fonctionnels » et « un nombre improbable de districts », au détriment de l’échelon départemental, « pertinent ».
Dans quoi buvez-vous
Dans quel type de verre buvez-vous le vin ? Parce que croyez-moi, le verre que vous prenez peut avoir une influence décisive dans votre ressenti. Dernièrement, j’ai assisté à un cours d’oenologie à Paris lors duquel j’ai pu apprécier une fois de plus le rôle insoupçonné du verre dans ce domaine. Bon, évidemment : si vous consommez du vin à l’apéro et voulez seulement savoir s’il ne pique pas, le verre que vous allez utiliser n’a pas grande importance. Vous pouvez même utiliser un simple gobelet ou boire directement au pichet ! Cependant, les grands vins méritent un traitement différent : car ils se mettent tellement plus en valeur dans des verres à pied. Si vous n’avez jamais fait le test, je vous recommande ce test : de goûter le même vin dans trois ou quatre verres de formes différentes. Croyez-moi, vous dégusterez trois ou quatre vins différents ! L’oenologue qui assurait ce cours nous a ainsi rapporté une histoire assez extraordinaire sur cette quetsion : il a failli déclencher une émeute durant une soirée oenologique qu’il avait mise en oeuvre, tout simplement car les goûteurs croyaient qu’il leur proposait des vins de différentes qualités ; alors qu’il avait seulement servi le même vin dans des verres de formes différentes ! De fait, pour déguster un bon vin, il faut choisir des verres à pied. Ce n’est pas qu’une question de conformisme : un bon vin se savoure mieux dans un bon verre. Vous pouvez comparer les verres à une chaîne hifi. N’importe quelle chaîne vous permet d’entendre la musique, comme n’importe quel verre peut accueillir un vin. Mais si vous vous y connaissez un tant soi peu, vous n’apprécierez certainement pas aussi bien la musique si vous possédez une vieille chaîne crachotante ou si vous possédez de bons haut-parleurs ! Il en va de même pour le vin. Ce n’est que dans des verres à pied que vous pouvez apprécier tous les arômes d’un vin. Et si les cours d’oenologie vous passionnent, je vous mets en lien le site où j’ai trouvé celui que j’ai suivi: j’ai passé un excellent moment. Plus d’information sur cette expérience de cours d’oenologie à Paris en surfant sur le site de l’organisateur.
Patrick Henry est enfin mort
Ce prisonnier, l’un des plus célèbres de France, avait échappé de peu à la guillotine grâce à l’un de ses avocats, Robert Badinter. Libéré en septembre dernier pour raison de santé, il est mort dimanche d’un cancer du poumon. Il avait échappé à la peine de mort grâce à l’un de ses avocats, un certain Robert Badinter. Mais Patrick Henry aura passé le reste de sa vie en prison, avant d’obtenir une suspension de peine le 15 septembre dernier pour raisons de santé. «Il est mort dimanche» matin «d’un cancer du poumon», a déclaré Martine Veys, une amie qui lui avait trouvé un logement à sa sortie de prison. Il avait 64 ans. Emprisonné pendant 40 ans pour le meurtre d’un enfant, il était devenu l’un des détenus les plus célèbres de France. Atteint d’un cancer du poumon, il avait été libéré par décision de justice, son état de santé étant «durablement incompatible avec la détention». Patrick Henry avait été condamné en 1977 à la réclusion criminelle à perpétuité pour le meurtre du petit Philippe Bertrand, âgé de 7 ans. À sa sortie de prison en septembre dernier, ses proches «s’étaient réjouis de cette ‘dernière victoire sur les murs’ et conjuraient avec lui sa brièveté», a dit son avocat Maître Hugo Lévy. Patrick Henry fut aussi en son temps un symbole de la lutte contre la peine de mort en France. Par sa personnalité et la nature de son crime, il y avait contre lui une brutale unanimité pour réclamer la mort. Des ministres comme Michel Poniatowski à l’Intérieur, et Jean Lecanuet à la Justice s’y associaient. À l’opposé, une partie des intellectuels, des journalistes, des responsables politiques et religieux s’était au contraire opposé à une telle condamnation. Son procès va devenir celui de la peine de mort, contre laquelle ses avocats vont concentrer leurs plaidoiries. La pudeur des parents du petit Philippe Bertrand, dont l’avocat était abolitionniste, les y aide.
Les matériaux miracles de l’informatique
Le graphène est ce matériau étonnant qui peut être la plate-forme la plus idéale pour développer des dispositifs électroniques plus rapides tels que les Smartphones avancés et les superordinateurs. C’est le matériau le plus mince jamais connu de l’homme et plus fort que le diamant. La prochaine génération d’ordinateurs et de smartphones sera beaucoup plus rapide quand ils sont fabriqués à partir du matériau le plus mince du monde jamais connu de l’homme. Ce matériau est le graphène qui a une densité d’énergie élevée comme la batterie et est plus mince que le papier avec une résistance à la traction élevée. Toutes ces caractéristiques feront de ce matériau étonnant le bon choix pour les écrans tactiles des Smartphones et des ordinateurs de nouvelle génération. Les téléphones mobiles seront plus efficaces avec Graphene car ce matériel est haut sur la fonctionnalité de mobilité. En plus d’être très portable, ce matériel peut aider à stimuler les puces RF et micro-ondes dans les ordinateurs et les smartphones. Les applications RF, telles que NFC, fonctionneront avec plus de précision et d’efficacité lorsque ce matériel est intégré dans les appareils mobiles. Souvent, même dans le monde actuel Smartphone chargeant l’ère et la vie de la batterie est toujours un problème. Mais, ce matériau le plus mince est censé résoudre le défi énergétique avec ses étonnantes propriétés électriques quantiques et semble promettre un «wipe out». des problèmes rencontrés en raison de l’utilisation de puces de silicium. L’intégration des extensions peut se faire de manière transparente grâce à l’excellente propriété électrique du matériau Graphene. Ce matériau graphène est même connu pour être plus fort que le diamant et quoi de plus, ce matériau a toutes les chances de basculer l’espace mobile avec ses caractéristiques extraordinaires. La taille des Smartphones et des autres appareils intelligents peut être considérablement réduite, car avec cette technologie, les produits électroniques grand public comme les téléphones ou les ordinateurs de bureau peuvent être enroulés pour s’adapter à la portabilité et ce facteur laissera les passionnés de gadgets. Les appareils électroniques avec fusion de graphène dans le cas de dispositifs hospitaliers peuvent servir plus efficacement les professionnels de la santé et les patients. L’espace mobile sera submergé pour voir les Smartphones qui peuvent être roulés dans une taille du crayon et cela peut être le scénario dans les années à venir avec la mise en œuvre de graphène pour les biens électroniques grand public. Il est également encourageant de voir une entreprise de fabrication de téléphones mobiles de premier plan comme Nokia prendre la technologie Graphene et ses propriétés au sérieux dans leur domaine de recherche. On croit également que les vitesses de calcul seront complètement améliorées avec cet allotrope de carbone et de graphite. Le monde qui nous entoure est en train de se procurer des ordinateurs informatisés et portables et la technologie du calcul portable est le bourdonnement du monde technique. Les lunettes de Google sont un excellent résultat des ordinateurs portables. La substance graphène avec des faits vérifiés est tirée à une conclusion que les ordinateurs portables seront bientôt une réalité! Les appareils des smartphones aux montres intelligentes et même aux vêtements intelligents feront partie de nos vies avec cette nouvelle substance. Les écrans tactiles flexibles sont une résultante impressionnante de la substance Graphene. C’est un matériau remarquable avec une combinaison de haute résistance, transparence et flexibilité avec une excellente conductivité électrique et thermique. Ainsi, avec toutes ces commodités modernes possibles avec le matériel Graphene, le futur aura quelques surprises qui impressionneront les amateurs de gadgets et les gens ordinaires. La concurrence d’avoir des appareils plus minces et plus petits sera plus innovante avec la nanoélectronique à base de graphène. Je vous laisse le lien vers le site spécialiste de spécialiste en référencement naturel à Lille.
La France doit disposer d’un environnement propice au développement des technologies de l’intelligence artificielle
La France a depuis de nombreuses années compris l’importance de disposer d’un cadre réglementaire protecteur des consommateurs et des utilisateurs de nouvelles technologies, tout en mettant en place les mécanismes nécessaires pour susciter et favoriser les expérimentations à grande échelle et les projets pilotes. Le développement de l’intelligence artificielle n’échappe pas à cette logique. Il est primordial que les expérimentations, y compris à grande échelle, puissent être réalisées, dans des cadres contrôlés, pour pouvoir évaluer le potentiel des technologies et leurs limitations. La France doit par ailleurs être pionnière dans la définition d‘un cadre novateur, protecteur des libertés et des utilisateurs en matière d’intelligence artificielle. La mise à disposition de données partagées au sein de la communauté de recherche, la définition de métriques et de mécanismes de parangonnage sont autant de facteurs clés de succès de cette démarche. Comme l’intérêt de plateformes mutualisées de données métiers l’illustre, la disponibilité des données est l’un des grands enjeux du développement de l’intelligence artificielle en France. Cette mise à disposition doit se faire dans un cadre réglementaire adapté, qu’il s’agisse de données à caractère personnel ou de données techniques, en garantissant la protection au juste niveau des données. Les conditions de mise à disposition (nécessité d’annoter les données), de stockage (par exemple au sein d’un nuage français ou européen), de propriété des données et les modèles économiques sous-jacents devront faire l’objet d’une réflexion accrue. Le développement de méthodes d’évaluation ou d’apprentissage communes et harmonisées constitue un axe de travail à privilégier. L’accès à des ressources de calcul dédiées et adaptées permettant de tester la validité et l’efficacité des approches est également un enjeu très prégnant. Enfin, lorsque cela est pertinent, pour garantir l’interopérabilité des solutions, il est nécessaire de disposer de normes et de standards partagés. La pérennisation et le développement des briques disponibles en source ouverte doit, par ailleurs, dans cette optique être soutenue.